27 December 2009

Edmund Wilson



LUCIDITY FORCE EASE
The thin strains of linkéd sweetness, with now and then a note frailly sour of the harp and the violin – some old musical-comedy tune I remembered from my college days - seemed to me even in this false and elfin echo to keep more that was human and charming than the pace of the newer dance music had ever allowed it to possess; and as I glanced at Daisy, gazing out like a charming good-natured child, at the sights of the passing shore, I was touched with sentimental revery.

Ce devait être quelque vieux refrain de comédie musicale datant de mes années d’université; ses échos douceâtres avec de temps en temps la note un peu aigre d’une harpe ou d’un violin semblaient, même avec cet écho faux et iréel, avoir conservé plus d’humanité et de charme que la musique de danse le plus moderne n’en pouvait suggérer. Je jetai un coup d’oeil à Daisy – elle regardait maintenant comme une gentille petite fille la rive qui défilait – et je tombai dans une rêverie sentimentale.

Les souches mince d'une douceur liée, avec de temps en temps une note frailly sure de la harpe et le violon - certaines musiques old-tune comédie Je me souvenais de mes années de collège - me semblait même dans ce échos parasites et de lutins de conserver une plus ce qui était humain et plus charmante que le rythme de la musique de danse plus récente avait jamais permis de posséder, et comme je l'ai regardé à Daisy, regardant comme un enfant charmant bonhomme, à des sites de la côte en passant, j'ai été touché par sentimentale rêverie.

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